domingo, 31 de janeiro de 2016

Victimes de névroses de tous
ordres, ils ressentent un spleen
qu’ils cultivent enhoisissant le
refuge des paradis artificiels, loin
de cet univers trop réel, trop
mercenaire, peuplé d’épiciers et de
rentiers. Les décadents manifestent
leur angoisse devant le monde, par
un pessimisme radical…

Sophie Didier e Etienne Garcin

Sem comentários:

Enviar um comentário