«Et que sont-ils (les poèmes) comparés à la poésie sans forme ni conscience que palpite dans les plantes, rayonne dans la lumière, sourit dans l'enfant, étincelle dans la fleur de la jeunesse, s'embrase dans le coeur aimant des femmes? - C'est pourtant cette poésie qui est la première, l'originaire, et sans laquelle assurément il n'éxisterai pas de poésie du verbe. »
Friedrich Schlegel, ''Entretien sur la poésie'' (1800), in Philippe Lacoue-Labarthe e Jean-Luc Nancy, org. (1978), L'absolu Littéraire, Théorie de la Littérature du Romantisme Allemand, Paris, Editions du Seuil.,p. 290.
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